MESSAGE 3 : LA FOI AGISSANTE (partie 3) Jacques 1 : 26-27

INTRODUCTION

Jacques 1: 22 «Pratiquez la parole et ne l'écoutez pas seulement, en vous abusant par de faux raisonnements».

Jacques 1: 23 «Car si quelqu'un écoute la parole et ne la pratique pas, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel».

Jacques 1: 24 «et qui, après s'être regardé, s'en va et oublie aussitôt comment il est».

Jacques 1: 25 «Mais celui qui a plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté, et qui persévère, non pas en l'écoutant pour l'oublier, mais en la pratiquant exigeant, celui - là sera heureux dans son action même ».

L'auditeur oublieux est la personne qui vient devant le miroir de la Parole qui lui révèle son péché, sa laideur, ses tares, ce qui ne va pas dans sa vie et qui exige de sa part agir en conséquence… mais il se laisse distraire par les choses de la vie, il s'en va, il oublie et les choses restent non réglées. Si on se porte à l'écouter, on est sur la mauvaise voie. Toute réaction, réponse à la Parole de Dieu autre que l'obéissance n'est que séduction, tromperie, duplicité.

L'observateur actif… voici le contraste, agit ponctuellement d'après ce qu'il aura entendu. Une telle personne trouvea le bonheur en obéissant à la Parole. L'observateur actif met la Parole en pratique dans sa vie. La croissance, le progrès sont évidents / visibles, c'est la foi agissante. C'est bien plus qu'une expérience momentanée, c'est l'application de la vérité qui change la vie.

Ainsi, la première exhortation de ce passage en ce qui concerne une réponse appropriée à la Parole de Dieu, c'est de l'écouter et de l'appliquer à notre vie. Être un auditeur attentif et un observateur actif!

NOTRE ATTITUDE DEVANT LA PAROLE DE DIEU EST CLE

La Parole de Dieu souligne constamment cette vérité: elle montre du doigt ceux qui affichent une forme de sainteté mais qui en renient la puissance. La Parole traite avec la réalité de la condition de cœur des hommes. Il y a ceux qui sont sauvés par grâce et il y a à ceux qui sont perdus dans leur péché. Il a aussi ceux qui se croient sauvés mais qui sont encore dans la perdition. Ceci est d'une grande préoccupation pour Dieu, car cette séduction, cette tromperie, est éternellement fatale! Dans l'Ancien Testament aussi bien que dans le Nouveau Testament, l'appel de l'Esprit de Dieu au cœur de l'homme est celui de ne pas se laisser abuser par de faux raisonnements concernant la réalité de la foi qui sauve.Les illustrations et exemples douloureux de cette condition de cœur séduit par de faux raisonnements ne manquent pas dans la Parole et j'aimerais en relever un dans Matthieu 25: la parabole des vierges sages et folles. Les vierges folles entretenaient une forme de religiosité. Elles sont des exemples de type de ceux qui se trouvent dans une illusion religieuse. Elles avaient leur forme de religion, tout le cérémonial car elles possédaient des lampes. Elles professaient une piété religieuse, parées d'apparat religieux. Elles avaient préservé leur virginité religieuse, s'étant mises à part pour la religion et tout était en place.Elles avaient même accompagné les vierges sages ce qui signifient et s'associaient avec les autres qui étaient authentiquement des enfants de Dieu. Elles remplissaient tous les devoirs religieux.

Mais lorsque retentit le cri de l'arrivée de l'époux, elles réalisent tout à coup qu'elles ne sont pas prêtes pour entrer dans la salle des noces du fait qu'il n'y a pas d'huile dans leurs lampes. Extérieurement, elles ressemblaient aux vierges sages, mais à l'intérieur il n'y avait pas ce qui représente la vie véritable et la porte leur est resté fermée à jamais. Toute l'apparence religieuse, accomplissant les rites / les œuvres, fréquentant les bonnes personnes mais passant à côté du royaume de Dieu. Quelle illusion fatale, quelle tromperie.

Dieu n'accepte personne qui lui apporte une offrande, un service, un sacrifice avec un cœur impur, non régénéré.

Et parce que le cœur de chaque individu gouverne sa conduite, le test infaillible, la manifestation de la foi véritable est le comportement, la manière d'agir.

Il y a un grand nombre de professeurs qui assistent à l'Eglise, qui participe aux rencontres, qui écoutent la Parole enseignée et qui l'économise même avec les personnes dans leur entourage en pensant que cela est suffisant puisque tout est centré sur la Parole de Dieu. Cependant, le cœur ne connaît pas la grâce salvatrice de Dieu. Tout cela n'est donc qu'illusion, un faux raisonnement si on reste un auditeur oublieux. Un véritable enfant de Dieu plonge son regard dans la Parole, étant un auditeur attentif et il y persévère, devenant un observateur actif, une personne qui a rencontré cette parole en pratique.

Et pour ceux qui s'abusent eux-mêmes en pensant que le devoir religieux, la forme extérieure suffit, notre texte relève deux autres éléments importants en ce qui concerne notre réponse appropriée à la Parole de Dieu en plus de ce premier principe: écouter et appliquer la Parole de Dieu à notre vie - être un auditeur attentif et un observateur actif!

Jacques 1: 26 « Si quelqu'un pense être religieux». Le verbe penser signifie croire être, s'imaginer. C'est une opinion personnelle, subjective. Se croire être pieux, religieux, s'imaginer être un bon chrétien « sans mettre un frein à sa langue, qui ne sait pas tenir, qui n'est pas maître de sa langue» conduit à quoi? Cette personne s'illusionne elle-même, elle séduit son propre cœur et…. le service religieux de cette personne est vain, sa religion est sans valeur.

Donc, ce texte nous dit premièrement que l’on n’est pas réellement sauvés, régénérés à moins de pratiquer la Parole et deux avant, si on ne tient pas la langue en mariée, toute profession de foi est vaine, toute piété est sans valeur . Si vous désirez savoir si ce que vous faites est juste aux yeux de Dieu, il suffit de prendre la mesure de vos paroles.  

Pour quelle raison est-il question de la langue? Bien sûr, cela ne résume pas tout le comportement chrétien, mais la langue est le baromètre du cœur, n'est-ce pas? Matthieu 12: 34 ou Jésus donne cette vérité pénétrante « Car c'est de l'abondance du cœur que la bouche parle. Car les paroles dépendent de ce qui remplit le cœur: c'est le trop – plein de l'être profond qui jaillit des lèvres ».

Notons bien la vérité de ce texte: toute forme de piété extérieure sans maitrise intérieure n'est que vanité. C'est une profession de foi sans valeur, pleine d'illusion. Un langage corrompu révèle un cœur corrompu. Matthieu 12: 33 « Il n'y a pas de bon arbre qui produise du mauvais fruit, ni de mauvais arbre qui produise du bon fruit».

Jacques 3: 11 « Avez-vous jamais vu de l'eau douce et de l'eau salée jaillir par la même ouverture d'une source»?

Nous pouvons cerner la disposition intérieure de quelqu'un en écoutant attentivement ses propositions. Peut-être pas immédiatement mais à la longue la véritable source, la réalité du cœur se manifestera.

Saviez-vous que chaque jour nous prononçons en moyenne près de 18 000 mots? Certains sont bien au-dessus de la moyenne et ce matin, je contribue tout seul à élever la moyenne. Nous parlons suffisamment chaque jour pour remplir un livre de 54 pages. En une seule année, cela amènerait à produire 66 volumes de 800 pages chacun.

Et voici une statistique encore plus effrayante: nous passons plus d'un cinquième de notre vie à parler.

Et si un homme, d'après Jacques 3, n'offense pas par ses paroles, c'est un homme parfait. Jacques 3: 2 « Celui qui ne commet jamais de faute dans ses paroles est un homme parvenu à l'état d'adulte, capable de maîtriser aussi son corps tout entier».

Aucun d'entre nous ne sera capable de parler nos 66 volumes… et pour certains se sera 166… aucun de nous ne sera capable de le faire sans que se manifeste, à un moment où un autre, notre nature pécheresse. Mais ce que l'apôtre Jacques évoque ici est une langue sans mariée, complétement hors de contrôle. C'est pour cela que Jésus déclare en Matthieu 12: 27 « Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné». Oui, parce que les paroles révèlent le cœur. Donc, voici une personne qui est en apparence très religieuse, pieuse, mais dont la langue, les lèvres révèlent un cœur non régénéré. De ce fait, toute sa religiosité est vaine, futile, sans valeur. Si la langue n'est pas maîtrisée, le cœur n'est pas transformé… en attente de nombreux actes de prière, de la connaissance de faits bibliques, des services rendus, des œuvres accomplis. Cela ne vaut rien aux yeux de Dieu! Ce n'est que pure déception, illusion.

• Ainsi, le premier principe que notre passage d'étude souligne c'est que notre réaction appropriée à la parole de Dieu c'est de la recevoir et de l'appliquer sans duplicité. Mettre la Parole en pratique dans nos vies afin de manifester la réalité de notre foi sans illusion, sans s'abuser soi-même. Nous verrons alors si oui ou non nous sommes contrôlés par la puissance d'une vie régénérée, par la puissance de l'esprit de Dieu.

• Une deuxième a choisi à ce sujet c'est que, non seulement nous réagissons à la Parole sans tromper notre propre cœur mais avec authenticité, avec le cœur, mais qu'une réaction appropriée à la Parole signifie que nous sommes disposés à la mise en pratique avec désintéressement, sans égoïsme. 

Jacques 1: 27 « La religion pure et sans tâche» , c'est à dire « La religion authentique et irréprochable consiste à aider les orphelins et les veuves passent par l'épreuve, et à se garder soi – même sans tache en se préservant de l'influence corruptrice du monde ».

Avons-nous saisi ce principe? La vraie religion, la vraie foi, pour la résumer en un seul mot consiste à démontrer quoi? L'amour! L'amour, la compassion. L'adoration pure, la dévotion sans tâche se résume à aimer Dieu de tout son cœur et son prochain comme soi-même. Jean 13: 35 « A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres».

De plus, le verset 27 nous dit « La religion pure et sans tache, devant Dieu le Père…». C'est selon l'appréciation de Dieu, c'est devant lui, selon ses valeurs à lui, la manière dont lui mesure… et cette mesure est selon la base de l'amour du cœur et non de l'aperçu extérieure. L'authenticité de la foi n'est pas déterminée selon ce qu'un homme pense ou croît, mais selon ce que Dieu en pense. Quelqu'un peut penser, v 26, être religieux, croire d'être un bon chrétien, mais ce n'est pas l'homme qui le détermine, c'est Dieu. Et Dieu nous dit par sa Parole que nous sommes réellement pieux, dans le vrai sens du terme, lorsque notre vie est caractérisée par l'obéissance et l'amour. Avons-nous besoin de nous étendre sur la question?

Visiter les orphelins et les veuves signifie plus que de leur rendre visite. C'est les aider, en prendre soin, répondre à leurs besoins… manifester l'amour de Dieu envers eux.

1 Jean 2: 10 « Celui qui aime son frère demeure dans la lumière et ne risque pas de tomber».

1 Jean 3: 10, 14, 16, 18 « C'est à ce signe que les enfants de Dieu et les enfants du diable se reconnaissent et qu'on peut les distinguer: celui qui ne fait pas ce qui est juste ne vient pas de Dieu, pas plus que celui qui n'aime pas son frère. Quant à nous, nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie parce que, maintenant, nous aimons nos frères. Celui qui n'aime pas se trouve encore dans le royaume de la mort. Nous avons appris à connaître ce qu'est le véritable amour par celui qui a offert sa vie pour nous. C'est pourquoi nous devons, nous aussi, engager notre vie pour le bien de nos frères. Mes enfants, ne nous payons pas de mots: il ne faut pas que notre amour consiste en quelques belles paroles; s'il est véritable, il se traduit par des actes ».

Une réaction appropriée à la parole de Dieu exige donc (Jacques 1: 22-27):

1. Premier point: l'obéissance à la parole.
2. Deuxième point: amour des autres.

Et les orphelins et veuves sont mis en avant. Une catégorie de personnes qui ont particulièrement besoin que l'on leur manifeste de la compassion, à l'exemple de Dieu. Psaume 68: 5 « Il est le père des orphelins et le défenseur des veuves. Oui, tel est Dieu dans sa sainte habitation ».

Avons-nous saisi et compris ces principes? La foi véritable vient d'un cœur pur et se manifeste par la manière dont nous agissons, la langue étant l'emblème de ce principe. La foi véritable est également authentifiée par notre amour pour ceux qui sont dans le besoin, non pas juste en juste manifestant de l'amour envers les gens que nous apprécions. Voyez-vous la différence? C'est une question d'amour divin, agapé, un acte volontaire de se sacrifier pour les autres, de payeur de sa personne et non une question d'affinité.

1 Jean 4: 7 « Bien – aimés, aimons – nous les uns les autres; car l'amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu ». L'amour doit caractériser notre vie. L'amour est la manifestation de notre salut en Christ. Et lorsque nous voyons des personnes plongées dans la solitude, dans l'épreuve, exploitées, écrasées par les coups durs de la vie, si notre cœur reste fermé et qu'il n'y a aucun désir de soulager et de servir, même si nous ressources et notre temps sont limités, c'est le signe d'une vie centrée sur elle-même, égoïste… sans valeur devant Dieu quelques soient les prétentions religieuses.    

Quelle est la manière appropriée de recevoir la Parole de Dieu? De la recevoir avec un esprit soumis, de la recevoir avec un cœur purifié, de la recevoir avec humilité. Et quelle est la réaction appropriée à la réception de la Parole? De pratiquer la Parole sans duplicité, tromperie et de la vivre sans égoïsme. Ce sont là les marques d'un véritable enfant de Dieu.

         3. Et troisièmement, une volonté d'attendre cette Parole sans compromis. 

Jacques 1: 27 « et à se garder des souillures du monde. En se préservant de l'influence corruptrice du monde ».

Le terme monde, kosmos en grec, signifie le système de valeurs, les principes qui régissent le siècle présent, les modes et les habitudes du jour, la culture ambiante, la philosophie vaine, la moralité dépravée.

Se garder, se préserver c'est au temps présent: continuellement éviter de se laisser salir par les choses du monde, rester sans tâche. Ne pas nous laisser aspirer par la convoitise des yeux, la convoitise de la chair et l'orgueil de la vie.

1 Jean 2: 15-16 « N'aimez pas le monde, ni ce qui est dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est pas en lui; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chaise, la convoitise des yeux et l'orgueil de la vie, ne vient pas du père, mais vient du monde ». Et quiconque est l'ami du monde est ennemi de Dieu. Les deux sont incompatibles. Pas de place pour le compromis. Qu'en est-il de nous? Est-ce que nous adoptons les vaines philosophies de ce monde? Est-ce que nous suivons les habitudes du jour qui ont un impact sur nous et qui régissent notre comportement? Est-ce que nous laissons de côté les valeurs morales bibliques et nous acceptons de salir par la dépravation ambiante autour de nous?

La religion pure et sans tâche appartient à ceux et celles qui manifestent une maîtrise de leur langue, qui manifestent un amour pour les autres et qui se préservent des influences corruptrices du train de ce monde. C'est ainsi qu'un enfant de Dieu vit sa foi.

Alors, vous pourriez-être penser: Si je regarde ma vie… eh bien… parfois ma bouche profère des choses que je ne devrais pas dire. Parfois je suis conscient des personnes qui m'entourent qui sont dans le besoin mais je ne manifeste pas d'amour et de compassion envers eux. Et parfois, je me laisse prendre au piège dans les vaines philosophies et valeurs de ce monde. Si cela est votre cas, alors bienvenue au club!

Cependant, si nous prenons conscience de tout cela, qu’elle est notre réaction? De quelle manière réagissons-nous?

• Si notre réaction est: j'en veux plus de tout cela, alors c'est une indication que notre cœur est loin de Dieu.
• Si notre réaction est: je haïs tout cela… alors c'est l'indication d'un cœur régénéré.  

Voyez-vous, ce n'est pas notre perfection qui prouve notre foi, notre salut, mais notre réaction devant notre imperfection. En examinant notre propre cœur, est-ce notre réaction habituelle à la Parole de Dieu est de proférer avec votre langue de bonnes choses, des choses pures, honorables, que les paroles qui sortent de notre bouche confèrent une grâce à ceux qui les entendent?

De temps à autre la chaise se manifeste également. Mais si habituellement notre désir est d'honorer Dieu avec notre langue, c'est le signe d'un cœur transformé.

Qu'en est-il des veuves et orphelins, de ceux qui sont dans le besoin? Avons-nous le désir de répondre à leurs besoins? Cela nous pèse-t-il sur le cœur au point de nous pousser à chercher à apporter ce que nous pouvons? Si parfois il y a des moments lorsque nous ne le faisons pas, et que la culpabilité nous ronge, c'est le signe d'une vie transformée.

Et désirons-nous avant tout de ne pas nous conformer au siècle présent, de ne pas nous laisser couler dans le moule des modes et habitudes de ce monde? Et chaque fois que nous réalisons que nous nous laissons aspirer par ces choses et que nous nous en écartons, que nous fuyons, c'est la marque d'une vie transformée.

CONCLUSION

Ainsi, un observateur actif de la Parole, la personne qui ne se supporte pas à l'écouter mais qui la met en pratique est reconnue dans ces trois domaines.

Sa relation vis-à-vis de lui-même, sa relation envers les autres, sa relation par rapport au monde. En nous examinant soi-même, nous pouvons faire l'inventaire de notre cœur de cette manière. 

Ma langue: est-ce qu'elle exprime la réalité de ma relation avec Dieu, de ma vie de foi, de sanctification? Peut-être que ce soir il serait bon pour nous de nous repasser les 18 000 mots prononcés au cours de la journée pour déterminer si la source est douce ou amère, si le fruit est bon ou mauvais? Un observateur actif de la Parole exprime la réalité de sa vie spirituelle avec sa langue.

Deux tiers, nous pouvons jauger la réalité de notre foi selon notre amour envers les autres. Est-ce le désir de mon cœur de répondre aux besoins des autres? Est-ce que j'en éprouve une grande joie ou bien est-ce que je le fais uniquement pour soulager ma conscience, pour me donner bonne conscience? Quelle est mon attitude envers les autres?

Et finalement, le monde? Quelle est mon attitude envers le monde et ses valeurs? Est-ce que je m'y conforme ou bien est-ce que je me préserve de ses souillures?

Ainsi, nous pouvons examiner notre vie? Est-elle reconnue par l'obéissance continue à la Parole de Dieu? Si oui, je suis un observateur actif, une personne qui la met en pratique, pas juste en apparence, mais au plus profond de mon être, de mon cœur.